
« Proust, c’est assez lourd, mal écrit parfois ennuyeux à hurler, ou dérisoire (les aubépines, à 1ère vue) mais la beauté, l’importance, viennent de la recherche, du projet de connaissance, qui de ce fait a transformé l’histoire de la littérature. »
J’adore la première partie de ce jugement, et n’adhère pas à la fin, tellement respectueuse de l’histoire littéraire et de ce qu’elle a décidé comme définitivement vrai. De ce point de vue, lire des auteurs contemporains que l’histoire littéraire n’a pas encore complètement définitivement étiquetés, dont on ne nous dit pas ce qu’il faut penser, ou des anciens que l’édition a un peu oubliés est sans doute la meilleure solution. Ou alors, faire fi des jugements de l’histoire littéraire…