
« Genet devant la mort ne se mentait plus. Lui qui avait osé biaiser, une fois de plus, un jour que je lui parlais de ce livre de Cioran – au titre pourtant si évocateur pour lui -, De l’Inconvénient d’être né, et me répondre, en me regardant comme si j’avais fait une bêtise : « Cioran ? Des petits aphorismes… Mais quand il sort le soir, il a peur d’être attaqué par des voyous ! »
Tahar Ben Jelloun, Jean Genet, Menteur sublime